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ROYAUME-UNI Balance commerciale (Octobre)A:--
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Le président de la Fed de Philadelphie, Henry Paulson, prononce un discours
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Canada Stocks de gros MoM (Octobre)A:--
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Canada Indice national de confiance économique--
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Canada Mises en chantier de logements neufs (Novembre)--
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Canada IPC de base en glissement annuel (Novembre)--
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U.S. NY Fed Manufacturing New Orders Index (en anglais) (Décembre)--
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Canada Nouvelles commandes manufacturières MoM (Octobre)--
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Canada Indice de base MoM (Novembre)--
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Canada Indice des prix à la consommation (IPC) ajusté YoY (SA) (Novembre)--
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Canada Stocks manufacturiers MoM (Octobre)--
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Canada CPI YoY (Novembre)--
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Canada IPC MoM (Novembre)--
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Canada IPC en glissement annuel (SA) (Novembre)--
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Le gouverneur de la Réserve fédérale, Milan, a prononcé un discours
U.S. Indice NAHB du marché du logement (Décembre)--
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Taux inchangés : La BCE devrait maintenir tous ses paramètres de politique monétaire lors de sa réunion de décembre, en conservant le taux de dépôt à 2,00 %. <br>Prévisions au centre des préoccupations : Les projections macroéconomiques des services de la BCE pour décembre seront au cœur des discussions, notamment la question de savoir si une inflation inférieure aux prévisions est attendue en 2028. <br>Fin du cycle d’assouplissement : La prochaine réunion ne devrait en rien remettre en cause l’idée que le cycle d’assouplissement est bel et bien terminé, même si un resserrement de la politique monétaire reste encore lointain.
Après une réunion d'octobre que la plupart des acteurs du marché qualifieraient d'incroyablement ennuyeuse, le Conseil des gouverneurs de la BCE ne devrait pas réserver de surprises particulièrement réjouissantes cette fois-ci, les décideurs politiques étant toujours en « bonne posture » et s'apprêtant à terminer l'année en maintenant inchangés tous les instruments de politique monétaire.
Comme indiqué précédemment, le Conseil des gouverneurs de la BCE devrait maintenir le taux de dépôt inchangé à l'issue de sa réunion de décembre, à 2,00 %. Cette décision intervient non seulement parce que la courbe des taux OIS de l'euro ne laisse entrevoir quasiment aucune nouvelle baisse de la politique monétaire, mais aussi parce que les membres du Conseil des gouverneurs n'ont guère manifesté la volonté de réduire davantage les taux. Tout porte à croire que le cycle d'assouplissement est désormais terminé et que 2,00 % représente le taux terminal de ce cycle.

Cela dit, la courbe des swaps s'est montrée particulièrement volatile ces derniers temps, intégrant désormais environ une chance sur cinq que la BCE relève ses taux de 25 points de base d'ici la fin de l'année prochaine, suite aux déclarations fermes de M. Schnabel, membre du directoire, ces derniers jours. Ce niveau de valorisation semble toutefois assez optimiste à ce stade, compte tenu de la probabilité d'une inflation inférieure aux prévisions de manière durable. Les intervenants seront donc attentifs à toute objection explicite quant à un éventuel resserrement de la politique monétaire dans les douze prochains mois.
Le Conseil général des affaires (GC) étant déterminé à maintenir tous les paramètres politiques inchangés, l'attention se portera naturellement sur la question de savoir si les décideurs politiques décideront d'apporter des modifications aux orientations.
Les chances de ces ajustements sont toutefois extrêmement faibles, voire nulles. La déclaration de politique générale se contentera de réitérer les propos tenus depuis des mois et désormais bien connus de tous. Elle réaffirmera donc que les décideurs continueront d'adopter une approche fondée sur les données et au cas par cas pour leurs décisions à venir, sans pour autant s'engager d'emblée sur une orientation politique particulière.

Le point le plus intéressant de la réunion de décembre sera sans doute la mise à jour des projections macroéconomiques du personnel, et notamment les premières indications sur l'évolution de l'économie de la zone euro jusqu'en 2028.
Concernant l'inflation, les projections devraient à nouveau indiquer que l'IPC global sera inférieur à l'objectif de 2 % l'année prochaine, ainsi qu'en 2027. Bien que l'inflation des services ait recommencé à s'accentuer ces derniers mois, le début de 2026 verra un important effet de base lié à l'énergie impacter les données, tirant les indicateurs de prix globaux (beaucoup) vers le bas au cours du premier semestre de l'année.
Les deux principaux points d'intérêt des prochaines projections d'inflation seront, premièrement, de savoir si l'inflation globale devrait remonter à 2 % d'ici la fin de l'horizon, en 2028. Deuxièmement, si une nouvelle baisse est prévue pour cette année-là, la question sera de savoir si les colombes du Conseil des gouverneurs considèrent cela comme une raison suffisante pour commencer à plaider en faveur d'un nouvel assouplissement de la politique monétaire, au cours des premiers mois de l'année prochaine.

Par ailleurs, en matière de croissance, les prévisions de croissance du PIB devraient rester globalement inchangées, notamment parce que nombre des obstacles qui ont pesé sur l'économie de la zone euro en 2025 se transformeront progressivement en facteurs favorables à l'approche de la nouvelle année. Ces facteurs favorables sont relativement nombreux : une plus grande visibilité sur les relations commerciales internationales (en particulier avec les États-Unis), les effets différés de l'assouplissement de la politique monétaire de la BCE, ainsi qu'une politique budgétaire globalement plus souple l'année prochaine.
Bien entendu, cette politique budgétaire ne sera pas totalement uniforme au sein de la zone euro. L'essentiel des mesures de relance budgétaire l'an prochain proviendra d'Allemagne, où une augmentation significative des dépenses de défense et d'infrastructure est prévue, ainsi qu'un nombre considérable de réformes fiscales qui devraient stimuler la consommation des ménages. Ceci, à son tour, devrait compenser, au niveau global, l'impact de la poursuite de l'assainissement budgétaire en France et en Italie, ce qui devrait permettre de maintenir les prévisions de croissance du PIB globalement inchangées et de voir la zone euro renouer avec sa croissance potentielle en 2027 et 2028.

Concernant la conférence de presse qui suivra la réunion, il semble fort improbable que la présidente Lagarde cherche à « faire des vagues » de manière significative, ce qui laisse présager une nouvelle réunion ennuyeuse et pesante, à l'image des propos tenus lors de la dernière réunion, en octobre.
En conséquence, il est fort probable que Lagarde se contentera de réitérer les propos qu'elle a tenus la dernière fois, à savoir que la politique monétaire est toujours « en bonne voie » et que la BCE veillera à ce qu'elle le reste, tout en confirmant probablement aussi que la décision de décembre de maintenir le statu quo était une décision unanime.
Comme toujours, outre la conférence de presse, les articles de « sources » publiés après la réunion seront également scrutés de près, notamment pour déterminer l'importance, le cas échéant, que les décideurs politiques accordent aux prévisions d'inflation pour 2028.
Globalement, la réunion de la BCE de décembre ne devrait pas constituer un tournant majeur en termes de perspectives politiques générales.
Bien que les partisans d'une politique monétaire accommodante au sein du Conseil des gouverneurs puissent plaider en faveur d'une nouvelle baisse des taux début 2021, il est probable qu'une très large majorité de décideurs politiques estime qu'il n'est guère nécessaire, voire pas du tout, d'adopter une orientation plus souple. À moins d'une détérioration significative de la croissance économique, les décideurs politiques devraient tolérer un léger sous-dépassement de l'inflation, en continuant de privilégier les données concrètes aux projections des services de l'État.
De ce fait, le scénario de base reste que le cycle d'assouplissement de la politique monétaire de la BCE est désormais terminé et que la prochaine décision concernant les taux sera effectivement une hausse. Cependant, une telle hausse est quasi certaine de ne pas intervenir l'année prochaine, le taux de dépôt étant fixé à 2,00 % jusqu'à fin 2026, et la question d'un resserrement de la politique monétaire sera abordée en 2027.

La Commission, qui fait office d'autorité de la concurrence au sein de l'UE, s'est dite préoccupée par le fait que Google puisse utiliser le contenu en ligne des éditeurs sans les rémunérer correctement et sans leur donner la possibilité de refuser cette utilisation.
Elle a exprimé les mêmes préoccupations concernant l'utilisation par Google des vidéos YouTube mises en ligne par ses utilisateurs.
« Google pourrait abuser de sa position dominante en tant que moteur de recherche pour imposer des conditions commerciales déloyales aux éditeurs en utilisant leur contenu en ligne pour fournir ses propres services basés sur l'IA, tels que les "aperçus IA", qui sont des résumés générés par l'IA », a déclaré Teresa Ribera, commissaire européenne à la concurrence, lors d'une conférence.
« Cette affaire témoigne une fois de plus de notre engagement à protéger la presse en ligne et les autres créateurs de contenu, et à garantir une concurrence loyale sur les marchés émergents de l'IA », a-t-elle déclaré.
La semaine dernière, la Commission européenne a ouvert une enquête sur les projets de Meta visant à bloquer l'accès de ses concurrents en matière d'IA à son système de messagerie WhatsApp, soulignant ainsi le renforcement du contrôle réglementaire dans ce domaine.
Le géant technologique américain risque une amende pouvant atteindre 10 % de son chiffre d'affaires annuel mondial s'il est reconnu coupable d'infraction aux règles antitrust de l'UE.
Les aperçus IA de Google sont des résumés générés par l'IA qui s'affichent au-dessus des liens hypertextes classiques vers les pages Web pertinentes et sont proposés aux utilisateurs dans plus de 100 pays. Google a commencé à y intégrer des publicités en mai dernier.
L'enquête de l'UE sur Google fait suite à une plainte déposée en juillet par des éditeurs indépendants .

L’agence Scope Ratings (Scope) a légèrement revu à la hausse ses prévisions de croissance mondiale pour 2025 depuis juin. Elle anticipe désormais une croissance mondiale de 3,3 % cette année, suivie d’une croissance plus soutenue de 3,2 % l’année prochaine (tableau 1).
Les perspectives de croissance de la zone euro-21 restent modérées : 1,4 % l'an prochain après 1,5 % cette année.
Une reprise est prévue dans l'économie allemande (à 1,0 % de croissance l'année prochaine), parallèlement à une croissance modérée en France (1,0 %) et en Italie (0,7 %).
L'économie européenne reste néanmoins soutenue par une forte reprise dans une grande partie de la périphérie. L'Irlande devrait enregistrer une croissance de 3,0 % l'an prochain, contre 2,5 % pour l'Espagne, 2,1 % pour le Portugal et 2,0 % pour la Grèce. La croissance observée dans certaines régions d'Europe centrale et orientale dynamise l'économie régionale, notamment avec une croissance de 3,2 % prévue en Bulgarie en 2026 après son adhésion à l'euro. Parallèlement, l'économie britannique pourrait connaître une croissance modérée de 1,0 % l'an prochain.
Scope a revu à la hausse ses prévisions de croissance pour les États-Unis, tablant désormais sur une croissance d'environ 2 % cette année, avant que l'économie américaine n'atteigne un niveau supérieur à son potentiel de 2,4 % l'année prochaine. L'agence de notation prévoit une croissance de 4,7 % pour la Chine l'année prochaine, après que l'économie chinoise a atteint son objectif de 5 % pour cette année, grâce à l'apaisement temporaire récent des tensions commerciales sino-américaines.
Tableau 1. Projections de croissance de Scope, résumé
projections en date de décembre 2025
*Évolution par rapport aux Perspectives économiques mondiales de juin 2025. Les taux de croissance négatifs sont indiqués entre parenthèses. Source : Prévisions de Scope Ratings, instituts régionaux et nationaux de statistique, FMI.Néanmoins, l’équilibre des risques à moyen terme pesant sur les perspectives économiques et de crédit mondiales reste orienté à la baisse. Quatre facteurs sont à prendre en compte :
La politique américaine récente a eu des répercussions importantes sur l'économie mondiale. Les baisses d'impôts procycliques, les réductions de taux et la déréglementation peuvent apporter un soutien à court terme à l'économie américaine et mondiale, mais au prix d'une aggravation des déséquilibres économiques à long terme.
Le démantèlement des alliances d'après-guerre et la guerre en Ukraine ont entraîné une hausse des dépenses de défense européennes et accru les risques associés pour la viabilité de la dette souveraine, tout en accentuant la fragilité géopolitique. La décision des États-Unis de suspendre leur aide étrangère et de revoir leur participation aux institutions financières internationales suscite des inquiétudes pour les économies en développement. Le non-respect des engagements climatiques aggrave les risques de catastrophes naturelles pour les pays vulnérables.
La hausse des taux d'emprunt et la déréglementation financière compromettent la résilience financière à long terme. Scope prévoit que les taux d'emprunt élevés persisteront. Ce constat demeure malgré l'assouplissement continu des politiques monétaires par de nombreuses banques centrales, tandis que des institutions comme la BCE maintiennent le statu quo et que la Banque du Japon resserre progressivement sa politique. Le maintien de taux d'emprunt élevés a un impact négatif sur les valorisations boursières élevées et la déréglementation financière.
Les perspectives sectorielles des différentes agences de notation à l'aube de 2026 vont de négatives pour la catégorie des actifs souverains, à équilibrées pour les institutions financières, en passant par légèrement positives pour les sous-secteurs de la finance structurée.
Webinaire : Inscrivez-vous ici pour échanger avec Dennis Shen, président du Conseil macroéconomique de Scope Ratings, le jeudi 15 janvier 2026 (15 h 00 CET), au cours duquel il exposera les principaux facteurs qui sous-tendent les perspectives de l’agence concernant les risques croissants auxquels est confrontée la résilience de l’économie mondiale.
La RBA a maintenu son taux directeur inchangé, comme prévu. Le Conseil des gouverneurs s'est montré légèrement plus restrictif, mais le gouverneur Bullock est resté fermement concentré sur les risques de hausse de l'inflation. Nous sommes moins convaincus que les contraintes de capacité auront un impact sur l'inflation, ce qui pourrait relancer le débat sur une éventuelle baisse des taux.
La décision prise aujourd'hui par la RBA de maintenir son taux directeur inchangé à 3,6 % était largement anticipée par les marchés et les économistes. Il s'agissait d'une décision unanime. Le communiqué adoptait un ton légèrement plus restrictif, mais lors de la conférence de presse qui a suivi, le gouverneur Bullock a indiqué que le Conseil se concentrait sur les risques de hausse de l'inflation.
Elle a confirmé qu'à la réunion d'aujourd'hui, « une baisse des taux n'était pas à l'ordre du jour », ajoutant que l'offre et la demande étaient quelque peu tendues. Les conditions potentiellement nécessaires à une hausse des taux en 2026 ont également été abordées, le Conseil estimant que les risques d'inflation penchent désormais du côté de la hausse.
Bien que le Conseil ait reconnu qu'une partie de la récente hausse de l'inflation sous-jacente était due à des facteurs temporaires, il a néanmoins constaté certains signes d'une reprise plus générale. Il demeure par ailleurs préoccupé par la tension sur le marché du travail et la forte croissance des indicateurs salariaux, ainsi que par le coût élevé du travail.
Ils continueront de surveiller ces facteurs dans un contexte de reprise, selon eux, plus marquée de la demande privée, ce qui pourrait entraîner des tensions sur les capacités de production.
Comme l'a récemment souligné notre économiste en chef, Luci Ellis, dans son article « Relevez le défi, vous ne vous heurterez pas à un mur », l'idée selon laquelle une demande privée plus forte se heurterait rapidement à des contraintes d'offre est erronée. En effet, nous estimons que les prévisions de croissance tendancielle de 2 % avancées par la RBA et certains autres économistes sont trop prudentes. Compte tenu de la population, du taux d'activité et des gains de productivité potentiels, nous considérons une croissance de 2,25 % ou plus comme réaliste.
Il est indéniable que la productivité globale a été très faible. Cependant, comme nous l'avons déjà souligné, cela reflète en partie la forte croissance du secteur des soins ces dernières années, un secteur à forte intensité de main-d'œuvre et mécaniquement moins productif que le secteur marchand. Mais à mesure que la demande privée et le secteur marchand deviennent des moteurs de croissance économique, les principaux indicateurs de productivité devraient s'améliorer. Il ne s'agit pas simplement d'une évolution de la composition de l'économie. La reprise des investissements des entreprises, constatée dans les comptes nationaux du troisième trimestre, et la forte hausse des intentions d'investissement des entreprises privées permettront à la part des investissements des entreprises de remonter par rapport à ses plus bas historiques. Avec davantage de capital par travailleur, la productivité sera plus forte. Enfin, il faut prendre en compte l'innovation et l'adoption technologiques, notamment l'apport futur de l'intelligence artificielle.
Il convient également de noter que l'économie n'est pas en plein essor. Le revenu disponible réel par personne vient tout juste de retrouver son niveau de 2020, l'effet stimulant des réductions d'impôt de la phase 3 s'estompe et, le maintien des taux d'imposition étant prolongé, l'effet positif des baisses précédentes s'atténuera également.
Globalement, nous n'anticipons pas de saturation économique imminente. Si cette prévision se confirme, l'économie pourra croître plus rapidement sans engendrer d'inflation supplémentaire, réduisant ainsi la nécessité de mesures légèrement restrictives.
Nous prévoyons en effet que l'inflation sous-jacente se rapprochera, puis passera en dessous, du point médian de la fourchette cible d'ici fin 2026. La hausse récente s'explique en grande partie par l'augmentation des frais administratifs, la volatilité saisonnière et la suppression des aides au coût de la vie. Il est peu probable que ces facteurs se reproduisent à l'échelle de la même manière. À plus long terme, l'amélioration de la productivité et la modération de l'inflation salariale contribueront également à la baisse de l'inflation sous-jacente.
De ce fait, notre scénario de base actuel prévoit deux nouvelles baisses de taux de 25 points de base, mais pas avant mi-2026. Cela ramènerait le taux directeur à 3,1 %, soit 125 points de base en dessous de son pic de ce cycle monétaire.
Suite aux déclarations du gouverneur Bullock lors de la conférence de presse d'aujourd'hui, la probabilité d'une hausse des taux s'est accrue. Celle-ci dépendrait toutefois de la persistance de la reprise actuelle de l'inflation. Nous estimons cependant que le risque penche davantage vers un statu quo prolongé. L'évolution des données économiques au cours des prochains mois amènera la RBA à réévaluer la viabilité du retour de l'inflation à son objectif ainsi que le caractère restrictif des paramètres de politique monétaire actuels.
La paire EUR/USD a atteint 1,1648. Tous les regards sont tournés vers la réunion de décembre de la Réserve fédérale.
Le taux de change EUR/USD progresse légèrement ce mardi, atteignant 1,1648. Cependant, globalement, la paire de devises majeure continue d'évoluer latéralement avant la réunion de deux jours de la Réserve fédérale, où le marché anticipe quasi unanimement une baisse des taux.
La probabilité d'une baisse des taux de 25 points de base mercredi est estimée à environ 87 %, contre environ 67 % il y a un mois. Toutefois, les perspectives pour 2026 restent incertaines. Une baisse plus restrictive est possible, Jerome Powell faisant alors preuve de prudence quant à de nouvelles mesures d'assouplissement.
Les investisseurs attendent également des indicateurs macroéconomiques américains clés. Le rapport JOLTS sur les offres d'emploi d'octobre, initialement reporté, sera publié aujourd'hui, suivi plus tard dans la semaine par les demandes initiales d'allocations chômage et la balance commerciale.
Sur le graphique H4, la paire EUR/USD conserve une trajectoire modérément haussière, mais la dynamique à la hausse s'est nettement affaiblie. Le cours se consolide sous le niveau de résistance de 1,1682, qui a à plusieurs reprises freiné les tentatives de progression. Les cotations évoluent actuellement le long de la bande de Bollinger médiane, ce qui indique l'absence de tendance forte. La bande supérieure s'oriente légèrement à la baisse, reflétant une volatilité moindre.
L'oscillateur stochastique se situe en milieu de fourchette, autour de 45, sans fournir de signal clair. Le marché est sorti de la zone de survente, mais aucun signal haussier convaincant ne se manifeste. Le MACD reste positif, mais son histogramme est descendant, ce qui souligne l'affaiblissement de la dynamique haussière et une probable phase de consolidation latérale.
Le support le plus proche se situe à 1,1547, niveau à partir duquel la précédente forte reprise a débuté. La résistance se trouve à 1,1682. Un franchissement de ce niveau ouvrirait la voie à 1,1750. Tant que la paire évolue entre ces limites, le scénario de base reste une consolidation au sein de la fourchette, avec une légère tendance haussière.

La paire EUR/USD progresse légèrement, mais avec une grande prudence. Les prévisions pour aujourd'hui, 9 décembre 2025, indiquent une légère hausse vers 1,1682.
Prévisions EUR/USD 2026-2027 : principales tendances du marché et projections futuresCet article présente les prévisions pour la paire EUR/USD en 2026 et 2027 et met en lumière les principaux facteurs déterminant son évolution. Nous utiliserons l'analyse technique, tiendrons compte des avis d'experts reconnus, de grandes banques et d'institutions financières, et étudierons les prévisions basées sur l'intelligence artificielle. Cette analyse approfondie des prévisions EUR/USD devrait permettre aux investisseurs et aux traders de prendre des décisions éclairées.
Prévisions pour l'or (XAUUSD) à partir de 2026 : avis d'experts, prévisions de prix et analysesDécouvrez en détail les perspectives du prix de l'or (XAUUSD) pour 2026 et au-delà, en combinant analyse technique, prévisions d'experts et principaux facteurs macroéconomiques. Ce rapport explique les facteurs à l'origine de la récente flambée du cours de l'or, explore différents scénarios, notamment une hausse vers 4 500 à 5 000 USD l'once, et souligne pourquoi ce métal précieux demeure une valeur refuge efficace en période d'incertitude mondiale.
British American Tobacco a réaffirmé mardi ses objectifs de croissance pour 2026, mais a indiqué que ses performances se situeraient probablement dans la partie inférieure de sa fourchette de croissance des revenus de 3 % à 5 %, alors que la société de tabac basée à Londres navigue dans une transition vers des alternatives à la nicotine dans un contexte régional défavorable.
La société prévoit une croissance d'environ 2 % de son chiffre d'affaires et de son bénéfice ajusté pour l'exercice 2025, avec une accélération de la croissance à deux chiffres des produits de la nouvelle catégorie, comprenant le tabac chauffé, la vape et les sachets de nicotine, au cours du second semestre.
Le directeur général, Tadeu Marroco, a déclaré que la société restait « concentrée sur le positionnement de glo Hilo comme une offre haut de gamme dans les plus importants segments de marché des produits chauffants », avec des lancements au Japon en septembre et en Pologne en octobre, et d'autres déploiements prévus pour 2026.
Les activités de BAT aux États-Unis ont affiché la plus forte dynamique, la part de marché en valeur progressant de 20 points de base tandis que la part de marché en volume restait stable.
Le sachet de nicotine Velo Plus de la société a permis à Modern Oral d'augmenter sa part de marché de 920 points de base sur le marché américain, où BAT a déclaré être en bonne voie pour atteindre la rentabilité annuelle de son activité Nouvelle Catégorie.
La marque Velo a atteint une part de marché de 15,9 % pour l'ensemble des produits bucco-dentaires et de 31,8 % pour les produits bucco-dentaires modernes à l'échelle mondiale, ce qui représente des augmentations respectives de 460 et 590 points de base.
La marque de cigarettes électroniques Vuse de BAT, qui a conservé son leadership mondial dans les canaux suivis avec une part de marché en valeur en hausse de 10 points de base sur les principaux marchés, a affiché une performance améliorée au second semestre malgré les défis persistants posés par les produits illicites.
L'entreprise prévoit une baisse de son chiffre d'affaires annuel pour Vuse de l'ordre de 7 à 9 %, contre une chute de 13 % au premier semestre.
Les performances régionales ont été très variables. Le continent américain, hors États-Unis, et notamment le Brésil, la Turquie et le Mexique, a enregistré de solides résultats. En revanche, la région Asie-Pacifique, Moyen-Orient et Afrique a été confrontée à d'importantes difficultés fiscales et réglementaires au Bangladesh et au Pakistan, qui impacteront la croissance des bénéfices ajustés.
La gamme de produits de tabac chauffé glo de la société a vu sa part de marché en volume diminuer de 1,2 point de pourcentage sur ses principaux marchés, sous l'effet de la concurrence au Japon.
La part de marché de BAT pour glo en Amérique, hors États-Unis, a diminué de 60 points de base, la société ayant pris des décisions d'allocation de ressources en prévision du lancement de glo Hilo.
À l'échelle mondiale, la part de marché de BAT en valeur sur les principaux marchés du tabac est restée stable, tandis que sa part de marché en volume a diminué de 10 points de base. L'entreprise prévoit une baisse d'environ 2 % du volume du marché mondial du tabac d'ici 2025.
BAT a annoncé des rachats d'actions d'un montant de 1,3 milliard de livres sterling pour l'exercice 2026, contre 1,1 milliard en 2025. L'entreprise prévoit un taux de conversion des flux de trésorerie opérationnels supérieur à 95 % en 2025, pour des dépenses d'investissement brutes d'environ 1,2 milliard de livres sterling.
Pour l'exercice 2025, BAT prévoit une croissance moyenne à un chiffre du chiffre d'affaires de la nouvelle catégorie à taux constants, avec une croissance d'environ 2 % du bénéfice d'exploitation ajusté à taux constants.
La société anticipe un impact négatif des taux de change d'environ 3 % sur son résultat d'exploitation ajusté et d'environ 4 % sur son bénéfice par action ajusté. Les charges financières nettes sont estimées à environ 1,8 milliard de livres sterling.
Aux États-Unis, le rapport JOLTS de septembre, initialement prévu plus tôt que prévu, sera finalement publié cet après-midi. Le nombre d'offres d'emploi est un indicateur clé de la demande de main-d'œuvre pour la Réserve fédérale, et sa publication sera particulièrement scrutée compte tenu de la décision du FOMC sur les taux d'intérêt demain. L'indice d'optimisme des petites entreprises de la NFIB pour novembre et l'estimation hebdomadaire de l'emploi dans le secteur privé d'ADP seront également publiés aujourd'hui.
Au Danemark, nous attendons les données du commerce extérieur et du compte courant pour le mois d'octobre. Ces chiffres seront intéressants à suivre, car les exportations demeurent le principal moteur de la croissance danoise.
En Chine, l'IPC de novembre sera publié cette nuit et devrait passer en territoire positif (prévisions : 0,7 % en glissement annuel, contre 0,2 % précédemment). L'inflation sous-jacente a également progressé ces six derniers mois. La Chine reste cependant soumise à des pressions déflationnistes sur les prix à la production, et l'IPP devrait se maintenir autour de -2,0 % en glissement annuel en novembre.
Que s'est-il passé pendant la nuit ?
En Australie, la Banque de réserve a maintenu son taux directeur à 3,60 %, invoquant les risques d'inflation et la reprise de la demande. La gouverneure Michele Bullock a indiqué que le conseil examinait la possibilité de hausses de taux en 2026 et n'excluait pas une augmentation dès sa prochaine réunion en février. Cette décision a entraîné une hausse des rendements et un léger renforcement du dollar australien.
Aux États-Unis, le président Trump a annoncé que les puces H200 de Nvidia seraient autorisées à être exportées vers la Chine, moyennant le versement par Nvidia d'une commission de 25 % sur les ventes, contre 15 % auparavant. Trump a affirmé que le président Xi avait accueilli favorablement cette décision, malgré le scepticisme exprimé par la Chine la semaine précédente quant à un tel accord. Cette décision a suscité des critiques de la part de parlementaires américains, qui ont exprimé des inquiétudes quant à la sécurité nationale et au risque d'une utilisation de ces puces à des fins militaires en Chine.
Dans la zone euro, l'indicateur Sentix de décembre s'est avéré légèrement meilleur que prévu, à -6,2 (contre -7,0 pour les prévisions et -7,4 précédemment), ce qui indique que les investisseurs sont devenus moins pessimistes quant à la reprise économique. Le Sentix étant le premier indicateur de sentiment publié pour décembre, cette hausse pourrait annoncer une amélioration des autres indicateurs de sentiment qui seront publiés ce mois-ci.
En Allemagne, la production industrielle a progressé de 1,8 % en octobre par rapport au mois précédent, dépassant largement les attentes et enregistrant ainsi sa deuxième hausse mensuelle consécutive. Cette croissance a été tirée par la construction et l'industrie manufacturière, tandis que le secteur automobile a pesé sur les résultats. Malgré ce signe de stabilisation à court terme, les indicateurs économiques restent prudents. L'indice Ifo a reculé en novembre, les anticipations pessimistes ayant contrebalancé une légère amélioration de l'évaluation actuelle, et l'indice PMI manufacturier a chuté à 48,2, son plus fort repli depuis février. Ceci souligne que, malgré une amélioration de la production, la faiblesse de la demande et le climat des affaires indiquent que la reprise demeure tributaire de l'impact des mesures d'assouplissement budgétaire.
Actions : La semaine a débuté lentement pour les actions, qui ont généralement clôturé en légère baisse. Le S&P 500 a terminé en recul de 0,4 % et le Stoxx 600 de 0,1 %. Fait intéressant, les ventes se sont à nouveau concentrées sur les valeurs défensives, comme vendredi. La séance a donc été calme, sans pour autant témoigner d'une aversion au risque. Les contrats à terme sont quasiment inchangés ce matin.
La tendance dominante hier était celle de la dynamique, qui a repris de l'ampleur aussi bien ce jour-là qu'au cours des deux dernières semaines. Ce regain d'intérêt s'explique notamment par la bataille qui oppose Alphabet et Nvidia sur le marché des TPU et des GPU, bataille qui semble toutefois s'être enrayée. Alphabet a chuté de 2 % hier, tandis que Nvidia et Microsoft ont progressé d'environ 2 %. Après la clôture, l'administration Trump a annoncé la possible reprise de certaines exportations de puces Nvidia (puces H200 AI) vers la Chine, ce qui a probablement contribué à cette rotation des marchés.
Le secteur de la santé mérite également d'être souligné : il a affiché une excellente performance au cours des trois derniers mois, avec une hausse d'environ 8 % à l'échelle mondiale. Cependant, c'est aussi dans ce secteur que les investisseurs ont cherché des financements lors du récent rebond, ce qui a entraîné une baisse d'environ 3 % ces deux dernières semaines. Cette situation contribue à l'écart entre les valeurs défensives et cycliques, tant en période d'aversion au risque qu'en période de reprise économique. La solide performance récente du secteur de la santé a réduit sa décote par rapport aux actions mondiales, la faisant passer de 20 % en début d'année à environ 9 % aujourd'hui. Ce niveau reste inférieur d'un écart-type à la moyenne décennale de 0 %, et nous continuons donc de recommander une surpondération de ce secteur, tout en reconnaissant que son potentiel de hausse s'est réduit.
Marchés financiers et de change : Les rendements continuent de progresser malgré les anticipations d'une baisse des taux de la Fed mercredi. Les marchés semblent s'inquiéter d'une communication plus restrictive quant à l'issue de cette baisse, et le sentiment de risque a été affecté par de légers replis des indices boursiers américains et asiatiques durant la nuit. L'EUR/USD a reculé vers 1,1620 hier après-midi, les rendements américains ayant temporairement grimpé aux alentours de 16h00 CET. Les rendements ayant ensuite baissé, l'EUR/USD s'est stabilisé autour de 1,1640-1,1650. La RBA a maintenu son taux directeur à 3,60 %, comme prévu, et a indiqué que les risques de hausse se font sentir, entraînant un accentuation de la pente de la courbe des taux : le taux à 2 ans progresse de 9 points de base et celui à 10 ans de 5 points de base, dans un contexte de renforcement du dollar australien.
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